L'église Saint-Nicolas, siège de l'archidiocèse catholique romain de Ljubljana, a été achevée sous sa forme actuelle en 1701 sur les fondations d'une ancienne église. L'église construite par l'architecte jésuite Andrea Pozzo est ornée de fresques de Giulio Quaglio est considérée comme l'un des joyaux de l'art baroque. Sa porte d'entrée fabriquée au 20e siècle est également célèbre. Les sculptures de la porte principale retracent l'histoire, tandis que les portes des poternes sont décorées de portraits d'évêques slovènes et de Jésus.

Imaginez deux hommes en costumes et chapeaux traditionnels de coton blanc poussant un traîneau biplace en osier sur des patins en bois. Croyez-le ou non, c'est ainsi que les gens parcouraient les rues de Madère autrefois. Aujourd'hui une attraction touristique, il faut 10 minutes pour descendre 2 kilomètres avec une vitesse moyenne de 48 kilomètres par heure.

Plus petit et moins fréquenté, le quartier arménien dégage une curieuse aura, encore bien imprégnée de son passé. La communauté arménienne est en effet l'une des plus anciennes de la ville : on pense qu'un groupe de pèlerins chrétiens l'a fondée au IVème siècle de notre ère. Si l'architecture religieuse vous intéresse, prenez le temps de découvrir celle de ce quartier. Dirigez-vous vers la chapelle Saint-Marc, l'une des plus anciennes églises de Jérusalem, datant du XIIème siècle. Elle se trouve à l'endroit exact où la Cène a eu lieu et où la Vierge Marie a été baptisée. Aujourd'hui, elle appartient aux croyants syriaques orthodoxes, et elle est richement décorée, avec un trône sculpté et de somptueux intérieurs. La cathédrale Saint-Jacques vaut également le détour : c'est un site martyr et elle n'est ouverte que pendant les messes. Enfin, arrêtez-vous au complexe arménien. Monastère et hospice, c'était un refuge pour ceux qui ont échappé au dramatique génocide arménien. Aujourd'hui, c'est également le siège du Patriarcat arménien.

Construit dans les années 1860, ce temple a été érigé en l'honneur du dieu taoiste « Pak Tai ». Jetez donc un coup d’œil dans l'une des salles annexes : vous apercevrez des hommes d'un certain âge construisant des modèles en papier et bambou de tout ce qu'ils souhaitent emporter dans l'eau-delà.