Palais arabe le plus au nord de l’Europe du Nord et un des monuments les plus importants de l’architecture hispano- musulman du XIe siècle. A remarquer la tour du Troubadour, datant du IXe siècle, dans laquelle Verdi situe l’action de son célèbre opéra « Il Trovatore ».

Ce mausolée majestueux dédié au « père de la Tunisie moderne » Habib Bourguiba est décoré de haut en bas de marbre blanc et de touches décoratives de vert émeraude, le faisant briller sous le soleil brûlant de Monastir. Les deux tours situées de part et d'autre de l'entrée du tombeau ressemblent aux minarets d'une mosquée maghrébine typique. En effet, la majeure partie de l'architecture conçue par l'architecte français Olivier Clément Cacoub ressemble beaucoup aux lieux de culte islamiques traditionnels. À l'intérieur du mausolée se trouve le président tunisien des années 1960, enfermé dans un sarcophage en marbre orné que l'on peut voir de près au rez-de-chaussée ou d'en haut en accédant au balcon par une porte modeste située à droite de l'entrée principale. Bien que l'accès au mausolée soit gratuit, certains préféreront peut-être mieux connaître l'histoire du bâtiment en réservant une visite auprès de l'un des voyagistes agréés de la ville principale. Il est déconseillé de faire appel aux services de guides travaillant dans l'enceinte du mausolée ou à proximité, car la plupart ne sont pas qualifiés. Les heures d'ouverture peuvent varier et si l'entrée principale est fermée, les visiteurs peuvent entrer par une entrée séparée située de l'autre côté du bâtiment.

Le musée de la capitale de Pékin était formellement ouvert au public en 1981, et le temple confucéen était son site d'origine. Afin d'accueillir une plus grande collection, un nouveau musée a donc été construit en décembre 2001. Il existe plus de 5000 pièces de reliques culturelles ici comme des objets en porcelaine, de la calligraphie, des peintures, des pièces de monnaie, des jades, des sceaux ainsi que des statues bouddhistes.